Etudes d'archéologie et de mythologie gauloises: Deux stèles de Laraire ; suivi d'un appendice inédit et d'une note sur le signe symbolique en SErnest Leroux, 1885 - 95 pages |
Expressions et termes fréquents
antiquaires antiques Appendice aryenne attributs autels Baiocasses Barthélemy bas-relief braies BRONZE DÉCOUVERTE Cæs caractère caractériser celtique César chien chthonien conception consacré conservé considérer côté CÔTE-D'OR croquis culte d'Oberseebach déesse Déméter dessin Dieu au marteau Dieu gaulois dieux Dis Pater divinité gauloise éduen éléments emblème Escles étude fécondité figure foudre Gaule Haute-Marne Hauteur hiératique idéogrammes Jupiter l'autel l'olla l'Olympe gaulois Landouzy-la-Ville lapicide loup Macrobe maillet main gauche Maison-Carrée manifestations ment monnaies Montluçon musée d'Épinal MYTHOLOGIE GAULOISES Nolay ornemental parèdre Pater gaulois petite stèle peut-être planche puissance rattacher reconnaître religieux religion gauloise remarquer rencontre représentation reproduction revers Revue archéologique romaine roue SAINT-GILLES GARD Savigny-sous-Beaune sceptre sculpté sculpteur semble serait serpent à tête serpent criophore SIGNE SYMBOLIQUE Silvain SOMME-SUIPPES Sommérécourt statère statue statuette en bronze stèle de Montceau stèle de Vignory STÈLES DE LARAIRE Taranis tête de bélier théogonies tion tonnerre torques tradition triskèle vase ollaire Vaucluse vêtement Vignory Zeus
Fréquemment cités
Page 9 - Recherches sur le Culte Public et les Mystères de Mithra en Orient et en Occident, 1867 — thé 3 parts in 1 vol.
Page 20 - L'auteur rattache, il est vrai, ces roues au culte du soleil et voit généralement une divinité purement solaire dans le dieu qui les tient ; mais, quelque nombreuses et concluantes que soient ses preuves pour établir que la roue a été, durant de longs siècles, un emblème très en faveur dans les rites du culte solaire, il n'en demeure pas moins positif qu'elle a été également concédée au Jupiter tonnant.
Page 74 - Sf, ce signe n'est pas simplement un motif ornemental, un enroulement gracieux imaginé par un artiste et aussitôt adopté par ses émules. C'est d'abord et avant tout un signe religieux, un symbole sacré traduisant pour les initiés une idée mystique et rentrant ainsi dans la série des idéogrammes hiératiques. Venu d'Orient en Occident, comme la croix gammée ou swastika, à une époque très reculée, ce signe a suivi une marche parallèle, en acquérant une importance égale, quoique moins...
Page 21 - Le dieu gaulois du soleil et le symbolisme de la roue », tirage à part, p. 96. » fanls, lorsqu'il tonne, disent encore que le bon Dieu » se promène en voiture, et il ya bien longtemps déjà » que le Psalmiste a comparé de son côté le roule...
Page 74 - ... de l'autre et évoluant en sens inverse. idéogrammes hiératiques. Venu d'Orient en Occident, comme la croix gammée ou swastika, à une époque très reculée, ce signe a suivi une marche parallèle, en acquérant une importance égale, quoique moins remarquée. Sa valeur symbolique est aujourd'hui reconnue et on en recherche curieusement l'exacte signification. Elle semble le rattacher à l'idée de la lumière vivifiante, de la chaleur qui provoque la fermentation...
Page 86 - ... accostant le signe en S, lequel, se doublant par une ingénieuse disposition de la volute centrale, se constitue ainsi lui-même de trois éléments. Le prestige de la combinaison ternaire pourrait-il se révéler sous un aspect plus signif1catif ? 3.
Page 86 - Il fut momentanément amoindri par le fait de l'intronisation des divinités romaines dans les provinces celtiques, il n'en reprit pas moins un sérieux essor à la faveur du renouveau que les invasions franques ménagèrent aux coutumes et aux croyances d'autrefois.
Page 16 - L'olla que tient la main droite est le plus constant, comme le moins variable des attributs de Dis Pater. Les autres peuvent faire quelquefois défaut, ou se transformer dans des conditions plus ou moins embarrassantes pour l'antiquaire, mais, lorsque le temps en a suffisamment respecté la conformation, l'ollaacquiert la valeur d'une pierre de louche et dissipe les hésitations.
Page 20 - C'est un sentiment de même ordre qui, s'attachant au roulement prolongé du tonnerre plus qu'à ses éclats intermittents, a fait placer une roue, comme symbole tonnant, dans la main du dieu suprême de l'Olympe gaulois. Les dessins illustrant le savant travail déjà cité de M. Gaidoz en fournissent plusieurs exemples. L'auteur rattache, il est vrai, ces roues au culte du soleil et voit généralement une divinité purement solaire dans le dieu qui les tient; mais, quelque nombreuses et concluantes...
Page 13 - J'aurais peine à citer plus de deux ou trois autels susceptibles de figurer dans un temple, ou dans un édifice public ' : j'en connais cent qui attestent un culte domestique assidu et presqu'universel. Si je ne m'abuse, le Dieu au marteau a tenu, avec la première place, un rang de prédilection dans les laraires privés. On a demandé son image à toutes les matières aptes à la fournir. Les métaux, les terres figulines, toutes les pierres propres à la taille...