Revue des deux mondesAu Bureau de la Revue des deux mondes, 1857 |
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Revue des deux mondes François Buloz,Charles Buloz,Ferdinand Brunetière,Francis Charmes,René Doumic,André Chaumeix Affichage du livre entier - 1831 |
Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 34 - Cela provient toutefois de la faiblesse de votre caractère. Vous êtes un bon soldat sur le champ de bataille, mais, hors de là, vous n'avez ni vigueur, ni caractère...
Page 237 - Puisque nous faisons des poèmes pour être représentés, notre premier but doit être de plaire à la cour et au peuple, et d'attirer un grand monde à leurs représentations. Il faut, s'il se peut, y ajouter les règles, afin de ne déplaire pas aux savants, et recevoir un applaudissement universel ; mais sur-tout gagnons la voix publique...
Page 188 - En littérature comme en politique, on ne peut tout avoir. Les talents comme les bonheurs s'excluent. Quelque constitution qu'il choisisse, un peuple est toujours à demi malheureux ; quelque génie qu'il ait, un écrivain est toujours à demi impuissant. Nous ne pouvons garder à la fois qu'une attitude. Transformer le roman, c'est le déformer : celui qui, comme Thackeray, donne au roman la satire pour objet cesse de lui donner l'art pour règle, et toutes les forces du satirique sont des faiblesses...
Page 836 - Contenu de la sorte, attentif à dévorer l'air de tous, présent à tout et à moi-même, immobile, collé sur mon siège, compassé de tout mon corps, pénétré de tout ce que la joie peut imprimer de plus sensible et de plus vif, du trouble le plus charmant, d'une jouissance la plus démesurément...
Page 741 - ... service, subir des examens sévères sur les langues orientales et les règlements militaires. A côté de l'armée de la compagnie , une autre catégorie de forces militaires représente, nous l'avons dit, la puissance anglaise dans l'Inde : ce sont les régiments de l'armée royale. Nous ne croyons pas être loin de la vérité en disant que, si la cour des directeurs ne devait compter que sur ses troupes natives pour maintenir dans sa dépendance les populations de son vaste domaine asiatique...
Page 836 - ... souhaitée, je suais d'angoisse de la captivité de mon transport, et cette angoisse même était d'une volupté que je n'ai jamais ressentie ni devant ni depuis ce beau jour.
Page 817 - D'ailleurs sans honneur effectif, sans mœurs dans le secret, sans probité qu'extérieure, sans humanité même, en un mot, un hypocrite parfait, sans foi, sans loi, sans Dieu et sans âme, cruel mari, père barbare, frère tyran, ami uniquement de soi-même, méchant par nature, se plaisant à insulter, à outrager, à accabler, et n'en ayant de sa vie perdu une occasion.
Page 670 - ... c'est le seul rapport qui existe entre eux, et pour s'en convaincre, il suffit de jeter les yeux sur les effets qu'ils produisent. On ne déploie le drapeau rouge que pour intimider les méchants, contenir les séditieux, apaiser les émeutes, ramener l'ordre, et préserver la cité du pillage, du meurtre, de l'incendie ; M. Camus au contraire ne se montre, ne parle et n'agit que pour effrayer les bons...
Page 841 - Quel amour du bien ! quel dépouillement de soi-même ! quelles recherches ! quels fruits ! quelle pureté d'objets ! oserai-je le dire, quel reflet de la Divinité dans cette âme candide, simple, forte, qui, autant qu'il leur est donné ici-bas, en avait conservé l'image ! On y...
Page 840 - C'étoit de ces preux militaires, pleins* d'honneur et de courage et de droiture, qui la mettent à tout, sans s'en écarter jamais, avec une fidélité jamais démentie, et à qui le cœur et le bon sens servent d'esprit et de lumière avec plus de succès que l'esprit et la lumière n'en donnent à beaucoup de genss.