Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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... bouche Ma bouche s'est séparée du plaisir Et du sens de l'amour et du sens de la vie Mes mains se sont séparées de tes mains Mes mains laissent tout échapper Mes pieds se sont séparés de tes pieds Ils n'avanceront plus il n'y a plus de ...
... bouche Ma bouche s'est séparée du plaisir Et du sens de l'amour et du sens de la vie Mes mains se sont séparées de tes mains Mes mains laissent tout échapper Mes pieds se sont séparés de tes pieds Ils n'avanceront plus il n'y a plus de ...
Page 71
... bouche des morts Malgré la peine des vivants Où est la lettre sans réponse Et la poussière des paroles Cette confiance dans la vie Qui tout à coup devient silence DORÉE Je nie les larmes leur lumière Mes yeux ne sont 71.
... bouche des morts Malgré la peine des vivants Où est la lettre sans réponse Et la poussière des paroles Cette confiance dans la vie Qui tout à coup devient silence DORÉE Je nie les larmes leur lumière Mes yeux ne sont 71.
Page 159
... bouche est encore une fleur Dans l'amour la vie a encore Ses mains agrippantes d'enfant Ses pieds partent de la lumière Et ils s'en vont vers la lumière Dans l'amour la vie a toujours Un cœur léger et renaissant Rien n'y pourra jamais ...
... bouche est encore une fleur Dans l'amour la vie a encore Ses mains agrippantes d'enfant Ses pieds partent de la lumière Et ils s'en vont vers la lumière Dans l'amour la vie a toujours Un cœur léger et renaissant Rien n'y pourra jamais ...
Table des matières
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Expressions et termes fréquents
aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux