Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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Paul Éluard. Frapper la femme monstre de sagesse Captiver l'homme à force de patience Doucer la femme pour éteindre l'homme Tout contrefaire afin de tout réduire Autant rêver d'être seul et aveugle . Je n'ai de cœur qu'en mon front ...
Paul Éluard. Frapper la femme monstre de sagesse Captiver l'homme à force de patience Doucer la femme pour éteindre l'homme Tout contrefaire afin de tout réduire Autant rêver d'être seul et aveugle . Je n'ai de cœur qu'en mon front ...
Page 98
... l'homme sans sommeil Nous partageons une marge indistincte De fruits de fleurs de fruits couvrant les fleurs Et de soleil s'enchevêtrant aux nuits Comme si la nuit Etait la terre des couleurs Comme si la verdure et l'automne Naissaient ...
... l'homme sans sommeil Nous partageons une marge indistincte De fruits de fleurs de fruits couvrant les fleurs Et de soleil s'enchevêtrant aux nuits Comme si la nuit Etait la terre des couleurs Comme si la verdure et l'automne Naissaient ...
Page 146
... les mains d'été la mort met ses frissons Mais l'enfant nouveau - né nie le cours des saisons Il rayonne il demeure aux portes de la vie Feu liquide déluge du désir de vivre Toujours le même enfant immortel éternel A l'horizon de l'homme ...
... les mains d'été la mort met ses frissons Mais l'enfant nouveau - né nie le cours des saisons Il rayonne il demeure aux portes de la vie Feu liquide déluge du désir de vivre Toujours le même enfant immortel éternel A l'horizon de l'homme ...
Table des matières
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