Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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... azur en tes yeux ravis Contre la masse de la nuit Trouvait sa flamme dans mes yeux J'ai vu par besoin de savoir La haute nuit créer le jour Sans que nous changions d'apparence . Sous le ciel grand ouvert la mer ferme ses ailes 14.
... azur en tes yeux ravis Contre la masse de la nuit Trouvait sa flamme dans mes yeux J'ai vu par besoin de savoir La haute nuit créer le jour Sans que nous changions d'apparence . Sous le ciel grand ouvert la mer ferme ses ailes 14.
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... nuit est active Un bol d'air à midi la nuit le filtre et l'use La nuit ne laisse pas de poussière sur nous Mais cet écho qui roule tout le long du jour Cet écho hors du temps d'angoisse ou de caresses Cet enchaînement brut des mondes ...
... nuit est active Un bol d'air à midi la nuit le filtre et l'use La nuit ne laisse pas de poussière sur nous Mais cet écho qui roule tout le long du jour Cet écho hors du temps d'angoisse ou de caresses Cet enchaînement brut des mondes ...
Page 137
... nuit et la peur de la nuit toutes les flammes de la nuit Les interdits les crocs montrés et les griffes sorties Les couleurs vagues la glace qui transpire le satin éraillé Elle n'était pas née Le paysage se fermait comme un caillou Les ...
... nuit et la peur de la nuit toutes les flammes de la nuit Les interdits les crocs montrés et les griffes sorties Les couleurs vagues la glace qui transpire le satin éraillé Elle n'était pas née Le paysage se fermait comme un caillou Les ...
Table des matières
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Expressions et termes fréquents
aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux