Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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... pieds se sont séparés de tes pieds Ils n'avanceront plus il n'y a plus de routes Ils ne connaîtront plus mon poids ni le repos Il m'est donné de voir ma vie finir Avec la 67.
... pieds se sont séparés de tes pieds Ils n'avanceront plus il n'y a plus de routes Ils ne connaîtront plus mon poids ni le repos Il m'est donné de voir ma vie finir Avec la 67.
Page 116
Paul Éluard. La flamme est sous nos pieds la flamme nous couronne A nos pieds des insectes des oiseaux des hommes Vont s'envoler Ceux qui volent vont se poser Le ciel est clair la terre est sombre Mais la fumée s'en va au ciel Le ciel a ...
Paul Éluard. La flamme est sous nos pieds la flamme nous couronne A nos pieds des insectes des oiseaux des hommes Vont s'envoler Ceux qui volent vont se poser Le ciel est clair la terre est sombre Mais la fumée s'en va au ciel Le ciel a ...
Page 159
... pieds partent de la lumière Et ils s'en vont vers la lumière Dans l'amour la vie a toujours Un cœur léger et renaissant Rien n'y pourra jamais finir Demain s'y allège d'hier . CHANSON IL FAUT BIEN Y CROIRE Les jeux de ces curieux 159.
... pieds partent de la lumière Et ils s'en vont vers la lumière Dans l'amour la vie a toujours Un cœur léger et renaissant Rien n'y pourra jamais finir Demain s'y allège d'hier . CHANSON IL FAUT BIEN Y CROIRE Les jeux de ces curieux 159.
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aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux