Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-3 sur 6
Page 76
... sera toujours bu Je ne dors pas je suis tombé j'ai trébuché sur ton absence Je suis sans feu sans force près de toi Je suis le dessous de la bête je m'accroche A notre chute à notre ruine Je suis au - dessous de tes restes J'aspire à ...
... sera toujours bu Je ne dors pas je suis tombé j'ai trébuché sur ton absence Je suis sans feu sans force près de toi Je suis le dessous de la bête je m'accroche A notre chute à notre ruine Je suis au - dessous de tes restes J'aspire à ...
Page 145
... les lourds sillons des rêves il confond Ce qu'il ne peut pas être avec ce qu'il sera Seul le fouet de la faim l'éveille et le tourmente Il n'aime pas sa faim mais il aime sa mère Il aime il est nourri de sa nécessité Vivre s'entend 145 V.
... les lourds sillons des rêves il confond Ce qu'il ne peut pas être avec ce qu'il sera Seul le fouet de la faim l'éveille et le tourmente Il n'aime pas sa faim mais il aime sa mère Il aime il est nourri de sa nécessité Vivre s'entend 145 V.
Page 160
... à la mesure d'un cœur futur Qui ne sera jamais coupable Les yeux de ces enfants qui sont nos yeux anciens Nous eûmes plus de charmes que jamais les fées . J'aime les bêtes c'est Maïakowski Qui dit j'aime les bêtes 160.
... à la mesure d'un cœur futur Qui ne sera jamais coupable Les yeux de ces enfants qui sont nos yeux anciens Nous eûmes plus de charmes que jamais les fées . J'aime les bêtes c'est Maïakowski Qui dit j'aime les bêtes 160.
Table des matières
Section 1 | 10 |
Section 2 | 49 |
Section 3 | 55 |
Droits d'auteur | |
9 autres sections non affichées
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux