Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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... somme nous tie bien avec elle . Ces trois derniers jours , grande tempête ; Ce matin , au dessus de la " mer calmée " sont passés deux grands hélicoptères , puis il y a ... sommes très bien avec Quand viens tu ? même si tu es très solitaire.
... somme nous tie bien avec elle . Ces trois derniers jours , grande tempête ; Ce matin , au dessus de la " mer calmée " sont passés deux grands hélicoptères , puis il y a ... sommes très bien avec Quand viens tu ? même si tu es très solitaire.
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... sommes à nous deux la première nuée Dans l'étendue absurde du bonheur cruel Nous sommes la fraîcheur future La première nuit de repos Qui s'ouvrira sur un visage et sur des yeux nouveaux et purs Nul ne pourra les ignorer . GRANDEUR D ...
... sommes à nous deux la première nuée Dans l'étendue absurde du bonheur cruel Nous sommes la fraîcheur future La première nuit de repos Qui s'ouvrira sur un visage et sur des yeux nouveaux et purs Nul ne pourra les ignorer . GRANDEUR D ...
Page 43
... sommes corps à corps nous sommes terre à terre Nous naissons de partout nous sommes sans limites . Le 28 novembre 1946 , Paul Eluard perdait brutalement sa 43.
... sommes corps à corps nous sommes terre à terre Nous naissons de partout nous sommes sans limites . Le 28 novembre 1946 , Paul Eluard perdait brutalement sa 43.
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aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux