Derniers poèmes d'amourLa Guilde du livre, 1967 - 196 pages |
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Page 56
... tête ; J'ai de dormir l'ardente nostalgie : Dans la chaleur , sans fin , comme une bête . Je dors peu , ne fais jamais la fête , Jamais ne baise une femme jolie ; Pourtant mon cœur , vide , point ne s'arrête , Malgré douleur mon cœur ...
... tête ; J'ai de dormir l'ardente nostalgie : Dans la chaleur , sans fin , comme une bête . Je dors peu , ne fais jamais la fête , Jamais ne baise une femme jolie ; Pourtant mon cœur , vide , point ne s'arrête , Malgré douleur mon cœur ...
Page 97
... misères à visage d'homme Veiller sur toi c'est rêver d'être toi C'est être sérieux Sans avoir rien appris Si de raison ma tête s'éclairait JE T'AI IMAGINÉE Dans les veines de notre ville S'allongeaient de bons diables 97.
... misères à visage d'homme Veiller sur toi c'est rêver d'être toi C'est être sérieux Sans avoir rien appris Si de raison ma tête s'éclairait JE T'AI IMAGINÉE Dans les veines de notre ville S'allongeaient de bons diables 97.
Page 161
... tête un peu trop noire pour un corps trop gris Il a fallu la tuer j'entends car c'est la chasse A tout moment le coup de feu qui la consume La source de la vie se courbe sur sa fin Nous nous courbons chaque jour un peu plus Sur notre ...
... tête un peu trop noire pour un corps trop gris Il a fallu la tuer j'entends car c'est la chasse A tout moment le coup de feu qui la consume La source de la vie se courbe sur sa fin Nous nous courbons chaque jour un peu plus Sur notre ...
Table des matières
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Expressions et termes fréquents
aimer amour aurore baiser beauté Belle bête blé bouche branches calme caresses Chagall chagrin chair chemins ciel clair cœur corps couleurs d'être déborde demain dernier désert désir de durer dessine Devant ce paysage donne Dora double dur désir durer écho enfant fais femme ferme feuille fleurs fond force forme froid fruit hommes J'ai Jeunesse jour l'amour l'homme l'ombre langue larmes loin long lumière mains Marie matin mémorable mère midi moissons monde mort mouvement murs n'ai nature néant noir novembre nuit Nusch ombres pain parle partager partout passé Paul Eluard perdre pesait petit phénix pieds plaisir plein poème poids portes pourra pourtant premier prend printemps qu'un raison rayonne regard rêve rien rire rose s'est sang seins sens séparé sera seul silence soir soleil solitude sommeil sommes sort sourire t'ai t'aime terre vagues venue verte vide visage vivant vivre vois vont yeux