De la tuberculose, ou, De la phthisie pulmonaire et des autres maladies dites scrofuleuses et tuberculeuses étudiées specialement sous le double point de vue de la nature et de la prophylaxie

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Savy, 1861 - 292 pages
 

Expressions et termes fréquents

Fréquemment cités

Page 67 - ... faire remarquer, que de l'avis même de Lebert, chez la plupart de ces cancéreux atteints de tuberculose, les dépôts tuberculeux ont eu une marche très-lente. .Dès lors, n'est-il pas permis de croire que. les tubercules aient été purement de cause locale et ne suffisent pas pour bien préciser la diathèse tuberculeuse et sa coexistence avec la diathèse cancéreuse? C'est une question que nous ne pouvons que soulever actuellement ; pour y répondre, il nous faudrait sur les caractères...
Page 226 - De l'influence de la navigation et des pays chauds sur la marche de la phthisie pulmonaire, couronné par l'Académie de médecine. Paris, 1856, in-4°.
Page 188 - Recherches cliniques sur l'auscultation des organes respiratoires et sur la première période de la phthisie pulmonaire, faites dans le service de M. le professeur ANDRAL , par le docteur J.
Page 205 - Cette pratique, qui est d'un emploi journalier contre les engorgements laiteux des seins, sera continuée plusieurs mois de façon à maintenir vers les mamelles une sorte de fluxion qui remplace celle qui s'effectuait du côté de l'utérus pendant la grossesse et les suites des couches (2). » Nous avons tenu à reproduire ce passage, mais s'ensuit-il que nous approuvions et que nous recommandions le conseil qu'il préconise? Non sans doute.
Page 120 - Boinet a lu à l'Académie de médecine , dans uue de ses dernières séances, un mémoire ayant pour objet : de l'alimentation iodée comme moyen préventif et curatif de toutes les maladies où l'iode est employé à l'extérieur comme médicament.
Page 97 - On a sans doute singulièrement exagéré la facilité de contagion de la phthisie pulmonaire. Cependant est-il sage de la nier absolument et dans tous les cas? Qui pourrait affirmer, avec des preuves suffisantes à l'appui de son opinion, qu'une maladie, qui ne saurait jamais être considérée comme purement locale, et qui, à mesure qu'elle avance, présente l'image d'une sorte d'infection de toute l'économie, n'est pas susceptible de se transmettre, dans...
Page 151 - Laennec accusait de la diathèse tuberculeuse acquise, quand il disait : « presque toutes les personnes que j'ai vues devenir phthisiques, quoiqu'elles ne parussent pas prédisposées...
Page 204 - ... contre la formation des dépôts tuberculeux une sorte de soupape de sûreté. Supprimer ce mouvement lluxionnaire qui s'effectue sur les glandes mammaires, c'est le déplacer et le détourner peut-être sur un viscère important à la vie; c'est en même temps faire cesser cet état chloro-anémique qui est normal chez les nourrices et qui, chez elles, est entretenu par la plus ou moins abondante déperdition lactée qu'elles font journellement; c'est, en un mot, anéantir les deux principales...
Page 67 - La proportion précédente (9 sur 100) signalée par Lebert semble donner gain de cause au professeur que nous citons. Toutefois, qu'il nous soit permis de faire remarquer, que de l'avis même de Lebert, chez la plupart de ces cancéreux atteints de tuberculose, les dépôts tuberculeux ont eu une marche très-lente. .Dès lors, n'est-il pas permis de croire que. les tubercules aient été purement de cause locale et ne suffisent pas pour bien préciser la diathèse tuberculeuse et sa coexistence...
Page 74 - ... de trop bonne heure. Les animaux n'acquièrent ni la taille ni les formes qu'ils auraient pu avoir quand on leur permet d'obéir aux premières impulsions de l'instinct de reproduction. La brebis reste ordinairement chétive, comme le fait remarquer Burdach, si on la livre au mâle avant sa troisième année. Les chevaux qui s'accouplent dès l'âge de trois ans restent petits et faibles. Il en est de même des vaches, des chèvres, des truies, etc., etc. D'un autre côté, les animaux issus...

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