L'amour et la nature dans l'œuvre de Khalil GibranMiddle East Press, 1979 - 189 pages |
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Page 22
... gens végétaient , la vie périclitait et semblait même absente . Le Minotaure qui semait la terreur c'était la misère . Et " la faim , dit - on , chasse le loup du bois " . La montagne se dépeuplait progressivement : les gens écrasés ...
... gens végétaient , la vie périclitait et semblait même absente . Le Minotaure qui semait la terreur c'était la misère . Et " la faim , dit - on , chasse le loup du bois " . La montagne se dépeuplait progressivement : les gens écrasés ...
Page 79
... gens de passer outre sans se retourner ... " 28 Il aurait mieux valu pour lui , pense l'auteur , être un mendiant aveugle et paralysé auprès de qui passeraient les gens sans le regarder , ni lui donner l'aumône ! Il en était de même ...
... gens de passer outre sans se retourner ... " 28 Il aurait mieux valu pour lui , pense l'auteur , être un mendiant aveugle et paralysé auprès de qui passeraient les gens sans le regarder , ni lui donner l'aumône ! Il en était de même ...
Page 136
... gens gagnent leurs usines . Dans leurs corps cohabitent la vie et la mort . Ces gens , pressés et cupides , grouillent dans les rues . Le résonnement du fer , le grincement des roues et le sifflement de la vapeur remplissent l ...
... gens gagnent leurs usines . Dans leurs corps cohabitent la vie et la mort . Ces gens , pressés et cupides , grouillent dans les rues . Le résonnement du fer , le grincement des roues et le sifflement de la vapeur remplissent l ...
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